La pouponnière
de BAMAKO (Mali)
Nous restons préoccupés par la pouponnière, nous vous avions sollicité en début d'année 2016 afin de répondre
à la demande d'aide d'urgence qui nous avait été adressée par la directrice de la pouponnière de Bamako (Mali).
Jean-Marie NOSAL, Président d'honneur
de l'association partenaire Via Sahel - Enfants d'Afrique s'est rendu sur place en février 2017 et il a pu constater que l'approvisionnement en lait posait de réelles difficultés : l'Etat malien qui s'était engagé
à assurer les commandes et les livraisons a failli dans sa mission. L'association Via Sahel Enfants d'Afrique a dû commander du lait pour une somme de 4 000 €. La pouponnière ne dispose que d'une avance de 3 mois... C'est trop peu
pour que nous soyons rassurés sur le sort de nos protégés.
AIDEZ - NOUS !
Les enfants de la pouponnière que vous pouvez découvrir
sur la vidéo pourront continuer à être choyés gràce à votre générosité mais le travail continue car il y a encore beaucoup à faire !
La directrice de la pouponnière a fait appel à VIA SAHEL dans une lettrre du 29 janvier 2016 que nous ne
pouvions laisser sans réponse.
Aujourd’hui, il y a une URGENCE à laquelle il nous faut apporter une réponse rapide et solidaire : la pouponnière
de Bamako (Mali) manque de lait pour les nourrissons et les bébés abandonnés.
Les actes de terrorisme, la raréfaction du tourisme, l’augmentation du nombre d’enfants
orphelins et l’interdiction d’adoptant étranger au Mali, ont réduit les dons et les aides et mis à mal les stocks en lait de la pouponnière. Les stocks de lait « première enfance » seront
épuisés et il nous faut les reconstituer dès maintenant afin de ne pas se trouver en difficulté. La pouponnière comprend près 211 enfants.
Jean-Marie NOSAL, Président
fondateur de Via Sahel, s’est rendu à Bamako, du 6 au 20 novembre 2015 et il dresse un constat préoccupant sur le Mali : « Durant ce voyage,
nous avons constaté un appauvrissement très important de la population Malienne à Bamako. Nous avons eu l’impression que tout le monde cherchait la nourriture. Un appauvrissement général que nous n’avions pas
constaté les années précédentes. Un artisanat très ralenti, sans créativité. »
Nous devons reconstituer les stocks
de lait et pour cela transmettre de l’argent à nos correspondants pour qu’ils puissent acheter le lait qui fait défaut et nous donner une avance sur les 6 mois à venir ; cela représente une somme de 1 000 €
et nous savons pouvoir compter sur vous !
Plus que jamais, votre aide nous est précieuse.